L’annonce des 10 milliards d’économie sur les dépenses publiques met à mal l’urgence de la revalorisation salariale. En parallèle, le manque de moyens, notamment de postes, reste criant. Et la politique éducative autour du “choc des savoirs” renforce une école inégalitaire et constitue une atteinte à la liberté pédagogique. Dans la continuité de la très forte grève du 1er février, l’intersyndicale éducation, dont la FSU-SNUipp, appelle à se mobiliser massivement pour imposer d’autres choix.